mercredi 26 octobre 2016
dimanche 23 octobre 2016
Magritte à Beaubourg
"la trahison des images"
J'avais souvenir d'une exposition où j'avais découvert Magritte au point d'acheter le livre de l'expo tellement j'avais été enthousiasmée par son univers et sa créativité.
donc c'est le cœur léger que je suis allée à celle qui vient de démarrer à Beaubourg.
je vante souvent ici la qualité des expos du centre Pompidou et surtout leur pédagogie. J'ai eu en plus la chance de voir l'expo dans le cadre d'une visite privée avec guide dans chaque salle.
Sans doute la thématique de "la trahison des images" est trop intello pour moi car là franchement j'avoue ne pas avoir eu d'émotion.
Mon lien avec la peinture est trés esthétique j'aime ou pas, la peinture de Magritte ne déclenche pas chez moi d'émotion sur un plan visuel. Par contre sur le plan intellectuel elle peut me fasciner ce qui avait été le cas en 2003 au Musée du Jeu de Paume.
C'est d'ailleurs pareil avec Dali je déteste mais j'admire la démarche.
samedi 22 octobre 2016
dimanche 16 octobre 2016
Oscar Wilde au Petit Palais
la foule pas du tout prévue (par moi!) a quelque peu gaché la visite car il y a beaucoup de documents à lire et c'est assez difficile de s'en approcher.
Mais on retrouve l'univers de l'époque, l'Angleterre Victorienne. Oscar (1854-1900) était une star, il voyageait beaucoup en particulier il est allé aux Etats Unis où il donnait des conférences trés courues.
| Oscar philosophe |
je vous recommande avant la sortie, le film avec interview de son petit fils suisse qui éclaire douleureusement la séparation d'Oscar Wilde avec sa femme et ses fils.
| le si beau jardin intérieur du Petit Palais |
mardi 4 octobre 2016
la color line au quai Branly
"Les artistes africains-américains et la ségrégation "
l'expo est trés dense et sans explication j'avoue avoir été submergée par toute cette documentation.
| Jacob Lawrence (1917-2000) a réalisé the migration series et c'est d'une totale modernité |
| magnifique "sculpture" de masques africains |
| mon chouchou Basquiat quand même à la fin de l'expo transition avec une période plus récente |
mardi 19 juillet 2016
"Vacances à Venise", le film de 1955 de David Lean
So kitsch mais un petit voyage dans Venise il y a une soixantaine d'années avec les tenues de l'époque et surtout la taille des actrices on croit rêver ....
Pas étonnant qu'elles portent avec brio des jupes/robes parapluie tellement la sveltesse de leur taille le leur permet
lire sur Bulles de culturel l'analyse du film
Pas étonnant qu'elles portent avec brio des jupes/robes parapluie tellement la sveltesse de leur taille le leur permet
![]() |
| j'ai adoré les couleurs des rayures de la jupe so 2016 |
![]() |
| et là aussi entre la jupe et le haut on s'y croirait |
![]() |
| Katherine Hepburn l’héroïne |
![]() |
| cette robe rouge |
![]() |
| beige-blanc, so chic |
dimanche 17 juillet 2016
BAR, l'été de Saint Germain
Dans la discrète rue de l'abbaye, derrière l'église de Saint Germain des prés, l'archevêché a souhaité faire profiter d'un endroit incroyable les parisiens et autres touristes.
Ouvert
jusqu'au 21aout, c'est un vrai havre de paix avec ses chaises et tables
colorées où l'on peut déguster une citronnade accompagnée de
pâtisseries de celle des Rêves !!!
mercredi 6 juillet 2016
Casablancas et Mr Gaga : deux hommes, deux destins, deux documentaires
Casablancas, l'homme qui aimait les femmes et Mr Gaga, sur les pas d'Ohad Naharin, deux documentaires sur deux hommes, l'un qui a révolutionné l'univers des mannequins et l'autre qui a fait bougé l'univers de la danse.
Le premier sur John Casablancas est un documentaire factuel avec la voix du héros décédé en 2013.
Avec ce personnage de roman, je pense qu'il aurait été possible de faire un film plus "sexy" et plus flamboyant, ce récit est assez terne mais intéréssant.
Mr Gaga, sur les pas d'Ohad Naharin, film sur la vie du chorégraphe israélien, pour lequel les critiques sont à juste titre dithyrambiques, nous fait vivre une vie d'émotions du kibboutz au ballet d’Israël en passant par New York. Je vous le conseille vivement ...
Ohad Naharin est en plus un citoyen engagé ce qui donne beaucoup de profondeur au film par certaines séquences
" Et Ohad Naharin d’enfoncer le clou. « Je vis dans un pays qui est gagné par le racisme, la brutalité, l’ignorance, un mauvais usage de la force, le fanatisme. Cela s’exprime dans la façon dont nous avons choisi notre gouvernement (…) Un gouvernement qui ne met pas seulement en danger mon travail d’artiste, mais le fait même d’exister ici, dans ce pays que j’aime tant ».
(extrait de Télérama ici )
Le premier sur John Casablancas est un documentaire factuel avec la voix du héros décédé en 2013.
Avec ce personnage de roman, je pense qu'il aurait été possible de faire un film plus "sexy" et plus flamboyant, ce récit est assez terne mais intéréssant.
Mr Gaga, sur les pas d'Ohad Naharin, film sur la vie du chorégraphe israélien, pour lequel les critiques sont à juste titre dithyrambiques, nous fait vivre une vie d'émotions du kibboutz au ballet d’Israël en passant par New York. Je vous le conseille vivement ...
Ohad Naharin est en plus un citoyen engagé ce qui donne beaucoup de profondeur au film par certaines séquences
" Et Ohad Naharin d’enfoncer le clou. « Je vis dans un pays qui est gagné par le racisme, la brutalité, l’ignorance, un mauvais usage de la force, le fanatisme. Cela s’exprime dans la façon dont nous avons choisi notre gouvernement (…) Un gouvernement qui ne met pas seulement en danger mon travail d’artiste, mais le fait même d’exister ici, dans ce pays que j’aime tant ».
(extrait de Télérama ici )
mercredi 15 juin 2016
lundi 6 juin 2016
Paula MODERSOHN-BECKER au Musée d'art moderne
Partie pour visiter l'exposition consacrée à Albert Marquet au MAM il y a quelques semaines, j'ai bifurqué pour le Palais de Tokyo en raison de l'importante file d'attente.
J'avais eu le temps de voir les affiches d'une autre expo au même MAM qui m'avait accroché l’œil et vu les critiques dithyrambiques, j'avais planifié d'y aller entre midi et 15 h (horaires incontournables à Paris) et de commencer par l'expo donc de Paula Modersohn-Becker.
Quelle découverte ... je suis toujours étonnée d'être trés sensible à la peinture et à la littérature allemande.
Présentée comme une des précurseurs des plus importants du mouvement expressionniste allemand qui est mon plus grand coup de cœur d'une expo, le travail de Paula m'a passionnée.
Morte à 31 ans (1876-1907) elle a peint 700 toiles dans une recherche perpétuelle passionnante et que retrace formidablement l'expo.
Venant régulièrement à Paris, influencée par tout ce qu'on compte à Paris d'avant gardistes au début du 20eme siècle, elle connut Cézanne qui l'a fortement inspirée.
Son amitié avec Rainer Maria Rilke, mise en avant dans l'expo, m'a amusée ; appréciant ses poèmes je "le rencontre" épisodiquement dans des lieux différents à travers les fortes amitiés féminines qu'il a eues (le château de Duino).
Prendre des photos est interdit ; dommage car la dernière salle avec des natures mortes est somptueuse.
Le film juste avant la sortie fait vivre à travers les lettres de Paula à son mari et sa famille sa découverte de Paris et son amour pour la peinture, doublé d'un talent littéraire.
En sortant j'ai jeté un oeil à l'expo d'Alfred Marquet mais voir deux peintres l'un à la suite de l'autre n'est pas une bonne idée, je voulais rester dans l'ambiance des tableaux de Paulo Modersohn-becker.
Dommage pour Marquet dont j'ai rapidement admiré les ports.
MAM
11, avenue du Président Wilson 75116 Paris
Ouvert du mardi au dimanche de à
Nocturne le jeudi jusqu’à
Entrée gratuite pour les collections permanentes.
Ouvert du mardi au dimanche de à
Nocturne le jeudi jusqu’à
Entrée gratuite pour les collections permanentes.
samedi 14 mai 2016
samedi 9 avril 2016
Klee à Beaubourg
J'ai bien aimé cette nouvelle expo au centre Pompidou.
Le parcours de cet allemand né et mort en Suisse est très intéressant,
J'ai été bluffée par toutes ses pistes de recherche à travers ses peintures.
Prof au Bauhaus il s'y sentait trop bridé.
Sa production est pléthore et a
dû ouvrir des pistes à d'autres artistes.
J'ai trouvé beaucoup de points communs avec l'œuvre de Basquiat entre autres le symbole de la couronne présent dans pas mal d'œuvres.
Inscription à :
Commentaires (Atom)



























