jeudi 28 janvier 2016

LE sac LAFFARGUE de Saint Jean de Luz

La première fois que je l'ai vu, il y a longtemps, dans la devanture d'une boutique de Saint Jean de Luz je l'ai aimé. J'appris plus tard que c'était un sac culte réalisé par la maison Laffargue.
Il était jaune et son image me poursuivait chaque fois que je revenais au Pays Basque...
Cette année je suis enfin rentrée dans la boutique et j'ai craqué pour cette couleur ( un seul modèle et deux tailles j'ai pris ´l'historique')
Le jaune de mon souvenir était trop violent malgré mon amour pour cette couleur et celui la me semble très chic dans sa discrétion ... 


mardi 26 janvier 2016

Maison et objet, quelques souvenirs

Quelques photos au gré des stands dont les produits m'ont plus : Indiscutablement les pays nordiques et en particulier les Pays Bas et le Danemark sortent grand vainqueur. Il faut dire que leur design épuré est pile dans l'air du temps

la belle porcelaine anglaise


Quelques grands noms du design, ici le stand du designer britannique










les verres de Carlo Moretti








la célèbre Pipistello encore et toujours









la marque de vêtements qui les diffuse dans ses boutiques en exclusivité se lance dans les tote Bags


j'adore cette marque de recyclage de toiles de voile 727 sailbags un peu cher


jolies montres













jeudi 21 janvier 2016

Ines chez Uniqlo

C'est super tout fait envie les chemises blanches et roses à 29.90€ les pantalons (mais pas de chance pas au delà du 40 petit petit!)
Les impers sympa, les sahariennes top manquent plus que les jupes et les robes (lundi au Uniqlo de La rue de Rennes) ...

vitrine de la rue de Rennes où Uniqlo squatte la Fnac


lundi 18 janvier 2016

le rouge orangé de CAROL

 Les tenues de Cate Blanchett dans le film '"Carol" sont époustouflantes, le top des années 50 en terme de bourgeoise WASP.

 Au début du film elle est habillée avec une dominante de rouge-orangé entre les manteaux, les fichus, les gants, les chapeaux, les étoles ...


 et même dans les carreaux du pyjama

et puis au fur et à mesure que l'histoire avance et se complexifie les couleurs deviennent plus ternes ...

 mais Cate Blanchett est toujours aussi sublime (elle rappelle "Blue Jasmine" de Woody Allen  dans son rôle de grande bourgeoise)



Thérèse (Rooney Mara), l'autre héroïne du film, a elle aussi un look 50 plus commun mais sympa avec ses écossais, ses jupes virevoltantes, ses chemisiers et gilets prés du corps.

article dans Télérama sur la scénariste du film

mercredi 6 janvier 2016

KAREN et BERYL, L'AFRIQUE

Deux biographies romancées de deux européennes ayant vécu au Kenya au début du 20 ème siècle : l'aviatrice, Beryl Markham et Baronne Blixen, Karen Blixen.


Lecture de ces vacances, j'ai commencé par "l'aviatrice" 
dont j'avais entendu beaucoup de bien,
l'écriture n'est pas exceptionnelle par contre l'histoire, oui.

Beryl est née en Angleterre mais part très jeune au Kenya avec sa famille (1904) que sa mère abandonne avec son frère ainé très rapidement

Beryl est donc élevée parmi les jeunes autour de la ferme familiale, sans aller à l'école et sans référent féminin. Son idole est son père, éleveur de chevaux dont elle suivra la trace devenant la première femme en Afrique à en obtenir le diplôme.
Mais là où elle passe à la postérité c'est pour être la première personne à traverser l'Atlantique d'est en ouest en avion en 1936.
Le livre retrace l'avant de cette époque de sa naissance à 1931 où elle perd l'amour de sa vie, Denys Finch Hatton, le 'Robert Redford' d'Out of Africa, l'amant célèbre de Karen Blixen.

Dans le deuxième livre sur Karen (appelée Tania par ses amis) l'auteur s'étonne que dans "la ferme africaine" pas plus que dans "vers l'Ouest avec la nuit" autobiographie de Beryl, ces femmes ne parlent l'une de l'autre alors qu'elles ont joué un role important dans la vie l'une de l'autre ne serait ce qu'à travers leur attachement à la personnalité de Denys.

Dans "Baronne Blixen" les éléments concernant Beryl sont tellement diffèrents du premier livre lu quelques jours avant que cela en est troublant : Beryl dans l'un voit son père ruiné partir en Afrique du Sud ( Pérou dans le 2ème!!!) et se retrouve a à peine 17 ans seule et sans éducation et argent, elle est poussée à accepter la demande en mariage d'un nouveau venu anglais, mariage qui ne lui apporte que désillusion.
Dans le livre sur Karen, elle est présentée comme une capricieuse qui s'est mariée sur un coup de tête et qualifiée d'égocentrique.
L’empathie dont fait preuve la biographe de Beryl est quand même plus crédible sur les souffrances de cette femme assez incroyable plutôt que le jugement péremptoire de la biographe de Blixen qui a pourtant rencontré Beryl à Nairobi lors du tournage du film de Sydney Pollack.

La lecture de ces deux livres donne envie de revenir au Kenya sur ces terres où ont vécues ces deux femmes d'exception.