dimanche 31 octobre 2010

the social Network

Fascinant tel un thriller, le film de David Fincher qui retrace l'épopée Facebook.

Jesse Eisemberg qui est Mark Zuckerberg l'inventeur de Facebook est surement parti pour un prix d'interprétation.

Andrew Garfield
Andrew Garfield,
Eduardo Saverin, mon favori est ou était le meilleur ami de Mark et la pièce maitresse affective de l'aventure avant de se faire avoir par Sean.

Peu de femmes dans cette histoire sinon UNE, grâce ou à cause de qui toute l'histoire Facebook est arrivée.
Terrifiante, l'université d'Harvard, dans sa déclinaison trés WASP de la société américaine
et pour la Mode, on attendra un prochain film car le genre bermuda-tongs, pas terrible!

J'avais entendu un critique dire que s'il y avait un seul film à aller voir c'était celui-là, je vous le confirme un seul bémol avoir un minimum d'intérêt pour cet univers sinon quel ennui!!

vendredi 29 octobre 2010

LE COQ AU FOUR

lE COQ SPORTIF DANS LA RÔTISSOIRE


Rue Tiquetonne, en plein quartier Montorgueil, on a de l'humour.

mercredi 27 octobre 2010

PARIS : ETE INDIEN ET TOURISTES

"Les restes de la FIAC" aux Tuileries sous le soleil et envahies de touristes de toutes nationalités.
Le tourisme ne connait pas la crise. Nous avons testé rue Saint Honoré, nous n'avons croisé que des étrangers, PARIS SO FASHION !!

mardi 26 octobre 2010

LA HONTE DES PRIX PARISIENS EN MATIÈRE DE SANTÉ

Aujourd'hui LE FIGARO publie un dossier sur le traitement des varices.

Par curiosité je regarde le classement des meilleurs établissements pour les opérations.

Hormis le fait que sur les 50 cités, à peine une dizaine soit en région parisienne, la différence de prix de l'intervention entre Paris et la Province est tellement énorme que cela saute aux yeux.
Il devient impossible de se faire soigner à Paris tellement les prix pratiqués par les praticiens deviennent prohibitifs, c'est un vrai problème de santé publique et surtout un vrai scandale.
Quelques exemples de prix édifiants, le classement est visiblement pour des cliniques puisqu'à l'hôpital les prix sont encadrés.

Clinique à Trélazé (n°1) : 52 euros
à Paris 5ième : 170 euros
à Agen 58 euros
à Lille 56 euros
à Pau 63 euros
à Antony (RP) 140 euros
à Paris 8 ième 100 euros
à Paris 15 ième 150 euros
à paris 17 ième 135 euros
à Caen 57 euros

Sans commentaire !!!!

lundi 25 octobre 2010

le même style

Au-dessus, la robe de chez Carven
Au-dessous, la robe de chez Zara

dimanche 24 octobre 2010

le dernier Woody ALLEN


Assez perplexe après avoir vu le dernier film de Woody Allen " Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu".
Dans un premier temps, on se dit "gentillet" puis en y repensant les caricatures de certains des personnages du film nous reviennent en mémoire et l'on "vit" quelques temps avec eux.
L'accumulation de situations à risque nous semble too much mais c'est une photographie très cinglante de nombreux "cas" autour de nous : vieil homme qui largue sa femme pour une call girl qui le trompe très vite, la dite femme qui devient addict à une voyante, leur fille peu heureuse avec son mari qui fantasme sur les habits rouges de leur voisine, la dite fille qui tombe amoureuse de son patron qui est tombé amoureux de l'une de ses copines, le mari écrivain qui vole le manuscrit d'un copain qu'il croit mort et ainsi de suite.....

Mais ce qui nous intéresse pour ce blog, sont les tenues des trois actrices dont Naomi Watts avec des robes au plus prés du corps dans des tons de taupe, (en photo avec Anthony Perkins, grandiose dans le film)

Au générique, le premier nom qui apparait pour les costumes est celui d'Alberta Ferretti(peut être cette robe rouge de Freida Pinto).

Vous connaissez sans doute les robes ultra féminines de l'italienne. Cet été à Arcachon j'en avais acheté une dans un bleu électrique, je ne l'ai toujours pas mise car je trouvais qu'elle était trop longue et de plus "pas ronde".
Me demandant comment la faire arranger, j'ai eu l'idée d'aller chez Alberta Ferretti rue Saint Honoré.

Et là je dis haut et fort "chapeau" non seulement j'ai été très gentiment accueilli mais de plus de suite, les vendeuses ont fait venir le retoucheur qui a trouvé une différence de 5 cm de longueur, a noté tout ce qui était utile de retoucher et pour un prix tellement peu élevé par rapport à ce que j'ai payé à arcachon pour un travail mal fait que j'en en étais scotchée.

Le site d'Alberta Ferretti

vendredi 22 octobre 2010

freitag







La semaine dernière, jour de beau temps idyllique à Paris, je prends mon sandwich et m'assois dans un square.
Sur les bancs, beaucoup faisaient comme moi. Ma voisine de droite avait un sac Freitag rouge. Arrive un couple, le garçon pose son sac Freitag rouge
aussi à côté de moiet là je me suis dit " cette fois c'est l'invasion".

J'ai flashé sur ces sacs il y a quelques années lorsque l'une de mes copines de Lausanne est arrivée avec.
Ils auront mis du temps à s'imposer en France.
Dés que j'en voyais un, toujours différent, leur caractéristique, je me pâmais (on peut trouver cela horrible car c'est très root).


Deux frères suisses, Daniel et Markus, ont repris l'idée des sacs des coursiers en vélo avec l'esprit des matériaux bruts genre bâche de camion.

Chaque sac est différent et coûte dans les 120 euros. Il existe aussi une version I-phone à 40 euros, peut être vais je me faire un petit cadeau!!!



leur site

mercredi 20 octobre 2010

tous les clignotants virent au rouge

Chez Zara

ou à la FIAC le rouge est en train de s'imposer comme la it-couleur de l'hiver, pour réveiller le beige!!!!

dimanche 17 octobre 2010

LA CAFE SOCIETY

UNE ÉPOQUE RÉVOLUE

L'expo sur la Café Society est terminée et vous n'avez rien loupé car réduite à une seule salle, c'était plutôt frustrant.
Le point positif a été la découverte du musée Henner où elle se tenait.
Mais avez vous déjà entendu parler de la Café Society ?
E
n fait, il s'agit de la jet set des années 20-60, un mélange d'aristos, d'artistes en bref Madame Bettancourt, François-Marie et tous les autres de l'époque.
Cette période est assez fascinante car elle préfigurait la chute d'un monde qui n'existe plus, "un monde qui veut allier la facilité d'une maison de passe avec les apparences d'une ambassade"!!

Donc l'expo frustrante, par contre le livre (très cher!) que je n'ai pas pu m'empêcher d'acheter est hyper intéressant pour ceux que cette époque intéresse.
Le plus surprenant est que l'auteur, Thierry Coudert, passionné, en fait un portrait vraiment pas complaisant : "La café society, l'expression plutôt péjorative, évoque un monde cosmopolite, superficiel, snob parfois vénéneux souvent dépravé, qui finit par se dégrader dans la décadence du goût avant la vulgaire jet set d'aujourd'hui" (laquelle appréciera!)

Thierry Coudert passe, entre autres en revue, les personnages mythiques de cette Café Sociéty.
  • Il dresse un portrait au vitriol des Windsor, condamnés à errer suite à l'abdication du Prince, sans culture et sans passion, allant de fête en fête mais n'apportant rien contrairement à d'autres figures phares, à l'échange entre les mondes.
  • Il raconte des couples extrêmement libres de mœurs dont les plus en vue étaient, chacun plus attiré par les personnes de son sexe que de celui de son épouse (ou époux).
  • Il nous raconte les bals mythiques dans des villes tout aussi mythiques, le bal Beistegui, au Palais Labia à Venise, en 1951,"le bal du siècle qui restera comme le sommet d'une époque qui influencera profondément l'histoire du goût."
  • les lieux fréquentés par cette Society composée principalement de français, d'américaines, de sud américains, de russes...
  • il souligne l'importance qu'ils ont eu dans le développement artistique de l'époque avec les ballets russes, les décorateurs, les joaillers ainsi bien sûr la mode en particulier avec Schiaparelli et Chanel.
bref les derniers éclats d'une façon de vivre révolue.

Mais contrairement "aux beaux livres" qui vous tombent des mains, celui-ci se lit comme un roman....
Un point commun à pas mal des personnages du livre, l'un de leurs parents est mort, souvent par suicide lorsqu'ils étaient jeunes, troublant...

Louise de VilmorinAlexis de RédéLee MillerCAFE SOCIETY par THIERRY COUDERT chez Flammarion, 60 euros (aie!)

jeudi 14 octobre 2010

BASQUIAT : LE FILM

the radiant childLe film sur Basquiat est sorti aujourd'hui veille de l'ouverture de l'expo au Musée d'Art Moderne.
C'est surtout un documentaire dont le fil conducteur est une interview accordée à la réalisatrice avant la mort de l'artiste en 1988.
Il y a quelques années Julian Schnabel, peintre célèbre et réalisateur ( le scaphandre et le papillon entre autres) avait réalisé un film sur la vie de celui qui fut son ami et le considérait comme l'artiste à "copier".
J'avais beaucoup aimé ce film qui était très émouvant sur la vie assez destroy de Basquiat.
Là c'est un documentaire avec beaucoup d'interviews de gens qui l'ont connu, avant et après qu'il soit devenu l'artiste américain avec Warhol le plus adulé aux US.
Bonne introduction pour aller voir l'expo, (essayer en tous les cas !) demain.

mardi 12 octobre 2010

merci aux midinettes qui nous ont ouvert la voie

la manif aujourd'hui, l'élégant Saint Germain a viré au rouge...

En ce jour de grève, où j'écoute RMC pour cause de musique sur France Inter, voilà qu'ils lancent un sondage sur la limitation du droit de grève mais quelle honte!!!
Toutes les avancées sociales dont nous bénéficions, nous les avons obtenu comment, grâce au bon vouloir du patronat ?

Je vous recommande de lire ce qui suit et qui est très émouvant.
Midinette : respect !

Aujourd'hui, journée de la femme, je trouve opportun de raconter cette histoire que je ne connaissais pas et que je viens de découvrir : la signification du nom "midinette" ainsi que son lien avec le combat des femmes.
Ce nom féminin de MIDINETTE apparaît à la fin du XIXe siècle. Il se compose de midi et de dînette car il fut donné aux jeunes ouvrières parisiennes de la mode qui, à midi, se contentaient d'un repas sommaire.En 1917, ces femmes allaient se révolter et animer un conflit social populaire et exemplaire.

"Elles courent, elles sautent, elles chantent, elles rient : les midinettes sont dans la rue... Elles refusent le chômage obligatoire d'une demi-journée, le samedi, imposé par les patrons de la couture. Leurs revendications ? La «semaine anglaise» intégralement compensée et une prime de vie chère.
En pleine guerre, la grève s'étend. En Champagne, à quelque deux cents kilomètres de là, les soldats des deux camps meurent par milliers.
Les femmes salariées, qui remplacent de plus en plus les hommes mobilisés au front refusent l'exploitation et réclament la paix.
Le spectacle était insolite! En pleine guerre (et quelle guerre!), la plus terrible que l'on ait connu, des centaines de jeunes femmes, les midinettes, parcourent les rues de la capitale en chantant:
« On s'en fout,
On aura la semaine anglaise
On s'en fout,
On aura les vingt sous... »
« OUI, MONSIEUR, C'EST UNE GRÈVE ! »
Le conflit a démarré au mois de mai quand le patronat de la couture a voulu imposer une semaine anglaise, à sa convenance, c'est-à-dire un congé du samedi après-midi non payé. En réalité, un chômage obligatoire alors que le coût de la vie ne cesse de grimper. Au départ, les grévistes se comptent... elles sont deux cents cinquante ! Elles mettent au point leurs revendications : la semaine anglaise, une vraie, c'est-à-dire intégralement compensée et une indemnité de vie chère de 1 franc pour les ouvrières et de 0,50 franc pour les apprenties.
Face à ces demandes, le patronat n'offre qu'une augmentation dérisoire et l'installation d'un réfectoire ! C'est loin du compte et les grévistes, réunies à la Bourse du travail, décident de continuer la lutte. Le lundi, elles reçoivent le renfort des cinq cents ouvrières de la maison Cheruit, place Vendôme. Le mardi, elles sont deux mille en grève. Paris s'étonne, puis s'enthousiasme. « Sur les Grands Boulevards, écrit le reporter de l'Humanité, un long cortège s'avance. Ce sont les midinettes parisiennes aux corsages fleuris de lilas et de muguet; elles courent, elles sautent, elles chantent, elles rient et pourtant ce n'est ni la sainte-Catherine, ni la mi-Carême. C'est la grève. » Et la grève s'étend. De trois mille, le mercredi 16 mai, elles seront dix mille à la fin de la semaine. On voit les cochers de fiacre et les chauffeurs de taxi faire monter les grévistes pour les emmener à « la Grange aux Belles », le siège de la CGT. Les soldats en permission accompagnent leur petite amie, et il arrive que les gars du bâtiment descendent de leur échafaudage pour applaudir ces jolies filles.
Les patrons finissent par accepter leur revendication d'une indemnité de vie chère et s'engagent, en attendant le vote d'une loi, à faire un « essai loyal » de semaine anglaise. Cette victoire provoque une sorte de levée en masse. Les unes après les autres, toutes les professions féminines de Paris reprennent les revendications des midinettes. Voici les confectionneuses, les caoutchoutières, les brodeuses, les lingères, les ouvrières de l'usine de lampes Iris, à Issy-les-Moulineaux, les fleuristes-plumassières, puis les employées des Établissements militaires, les employées des banques, notamment celles de la Société générale, les confectionneuses de la Belle jardinière.
Sitôt le travail arrêté, les grévistes prennent le chemin de la Bourse du travail où les militants sont littéralement débordés. Pour se reconnaître, chaque groupe arbore, sur une hampe de pancarte, le nom de sa profession et un emblème improvisé, une jarretelle de soie bleue, un chandail de laine, une plume d'autruche, où encore, l'affiche du dernier emprunt de guerre.
Le mouvement gagne les usines d'armement qui faute de main-d'oeuvre masculine, ont été conduites à embaucher nombre de «munitionnettes» . Le 3 juin, la presse annonce « Grève aux usines Citroën », mais la censure caviarde les articles. C'est que l'affaire devient autrement inquiétante pour le pouvoir car le mouvement n'épargne pas la province qui va compter bientôt 11 000 grévistes. À la poudrerie de Saint-Médard, en Gironde, 2 500 ouvrières arrêtent le travail. Pour la seule année 1917, les statistiques officielles relèveront 700 conflits, 300 000 grévistes, 565 succès ou accords collectifs et les syndicats, de leur côté, font état d'un fort mouvement d'adhésions. Ainsi, la fédération des Métaux CGT comptera jusqu'à 37,5 % de femmes syndiquées dans ses rangs".

(Ce dossier confectionné par Pierre Fay a été publié par la Nouvelle Vie Ouvrière du 11-07-2003 )

samedi 9 octobre 2010

L'AMOUR FOU

PIERRE ET YVES
On m'avait dit beaucoup de bien du film sur l'histoire d'amour de Pierre Bergé et d'Yves Saint Laurent.
C'est un très beau moment d'émotion.
En fait, Pierre Bergé raconte son amour pour Yves avec comme fil rouge la vente du Siècle chez Cristie's de leurs collections et il a un grand talent de conteur.

Cet été, j'avais lu le livre "beautiful people"dont je vous avais parlé ici et leur vie m'était "familière"mais les flashback dans les lieux de rêve qu'ils ont partagés nous plongent dans un autre monde.
La vie des œuvres d'Yves à l'inverse de l'expo du Petit Palais ( ici) nous ravit.

vendredi 8 octobre 2010

H&M aux CHAMPS

à croire que tout était donné tellement le sac H&M ci-dessus déferlait hier sur les Champs Elysés le lendemain de l'ouverture du magasin sur la Plus Belle Avenue du Monde (ex?)

Donc au 88, côté le plus sympa (à l'opposé du Fouquet's!), à coté de Séphora et autres Promod, Jean Nouvel a réalisé un espace agréable et aéré mais archi bondé, impressionnant.


Sinon, tout ce que l'on voit partout chez H&M et bien entendu une devanture PANTHÈRE!


Je continuerai à aller à celui de la rue de Rennes qui est le plus sympa en tant que lieu, organisation et fréquentation.
(ps : j'ai maintenant un i-phone avec lequel j'ai pris ces photos mon appareil ayant rendu l'âme dommage j'aimais beaucoup les photos que nous faisions ensemble, là l'accord a l'air moins évident!)

mercredi 6 octobre 2010

CHANEL

Classiquement Chanel PAP printemps-été 2011