samedi 30 novembre 2013

demain matin, dimanche, " recettes de ma vigne" de catherine Bernard

A 11 heures France Inter, présentation du livre de Catherine Bernard et Anne-Sophie Thérond

" recettes de ma vigne"


mardi 26 novembre 2013

Raymond Depardon, Harar et mes photos


Je suis une inconditionnelle du travail de Depardon donc direction le Grand Palais pour l'exposition, une minuscule entrée (les honneurs étant sans doute réservés à Miss Dior) pour arriver dans le hall splendide du Grand Palais.
 ( la queue dehors due aussi à un manque criant d'organisation au niveau des contrôles! aucun respect et pas de recherche de l'optimisation des entrées pour ceux qui ont quand même payé leur billet)

deux grandes salles accueillent l'expo  de ses photos "sans but" dans le sens où elles n'étaient pas destinées à être montrées.
On découvre un Depardon, photographe aussi de la couleur.

c'est évidemment la salle de l'Afrique qui m'a le plus emballée



souvenir d'enfance





quelques photos évoquent l'univers d'Hopper

l'on part en Ethiopie


la croix coopte des prêtres éthiopiens 



et puis mon cliché préféré (mal photographié d'accord!)
une rue à Harar (centre de l'Ethiopie) j'y ai passé deux jours il y a quelques années et j'ai beaucoup aimé cet endroit  et tout ce qui j'y ai vu.
Du coup cela m'a donné envie de ressortir mes photos d'Harar qui sont les plus belles que j'ai prises dans ma vie sans doute lié à mon empathie pour cette ville et ses habitants.

photo perso



photo perso




photo perso



photo perso



photo perso




photo perso

photo perso




photo perso

photo perso

 la maison  "vendue" pour être celle où aurait vécu Rimbaud (puis Henri de Monfreid)

puis avec Depardon

"le petit travers" plage où je me promenais le week end précédent, trop drôle 

  

Bye, bye version Depardon

mardi 19 novembre 2013

les garcons et guillaume à table!

l'affiche est partout, Guillaume avec sa coiffure improbable.
On rit beaucoup mais le film n'est pas gai mais alors pas du tout et par moment franchement dur/triste/émouvant/dérangeant et l'on est content de savoir que Guillaume G s'en est bien sorti ou du moins on l'espère.
Je me demande comment ses frères vivent toute cette histoire car ils ne sont pas particulièrement sympathiques dans le film.
Sa mère est la caricature de la grande bourgeoise, sa grand mère la trop classe Françoise Fabian magnifique et ses tantes totalement allumées!

Françoise Fabian
 pour une fois la fashionata Diane Kruger ne fera pas palir d'envie avec son look, elle est une infirmière allemande complètement improbable

 

finalement les femmes ont un rôle majeur dans la vie de Guillaume,
et pourtant  c'est son père qui semble le plus terre à terre dans ce monde ubuesque que nous traversons avec beaucoup de plaisir.

samedi 16 novembre 2013

Nos vignes sous le soleil d'automne


Avec de belles couleurs. Nous avons ramassé thym, romarin et surtout de la roquette avec laquelle nous nous sommes régalés avec des œufs brouillés et une petite salade de moules ;-)))


mercredi 13 novembre 2013

Philippe Parreno au Palais de Tokyo




Cette expo au Palais de Tokyo est assez époustouflante et à des années lumière (encore et toujours la lumière) de ce que l'on a l'habitude de voir.
D'abord le lieu immense du Palais, dévolu totalement à l'artiste et à ceux qu'il a conviés,
 le coté friche industrielle qui se prête bien à l'exercice.
Et puis ce que j'ai beaucoup apprécié parce que j'aime la musicalité des notes de piano, des pianos partout qui rythment la visite.

 
 première salle avec projection de plusieurs vidéos, ça tape fort d'emblée
puis on découvre le premier piano










des petits panneaux partout



une pièce dans la totale obscurité avec le piano au fond et puis la pièce s'éclaire
...dans un coin une bibliothèque et derrière des œuvres de reconstituant une expo de John Cage et Merce Cunninghan.
 

Zidane dans une pièce immense avec des écrans démultipliant son apparition et son jeu : bluffant



la lumière partout


et le piano continue de jouer

une montagne en sel ?  derrière l'immense écran où  nous partons à New York dans un hôtel
un moment fort qui m'a scotchée : la visite sans cesse recommencée lors d'une vidéo avec la voix de Marilyn reconstituée.


pas tout compris il semblerait que ce soit un lien entre l'intérieur et l'extérieur



c'est au Palais de TOKYO 

lundi 4 novembre 2013

"roman d'une garde robe" à Carnavalet

La thématique de la mode est trés à l'honneur à Paris depuis quelques temps, mode d'hier et mode d'aujourd'hui.


J'ai été d'autant plus sensible à cette exposition qui se tient au musée Carnavalet que ma grand mère avait travaillé, trés jeune fille pour la famille Chéruit.



La maison Chéruit dont il est question tout au long de l'expo était l'une des plus grandes maisons de couture au début du 20 ème siècle.

"Imaginez-vous pousser la porte de l’une des plus grandes maisons de haute couture parisiennes au début du siècle dernier… Alice Alleaume, première vendeuse de 1912 à 1923 chez Chéruit, 21, place Vendôme, vous reçoit et vous propose de réaliser vos rêves les plus fabuleux…Ainsi, le musée Carnavalet présente, du 17 octobre 2013 au 16 mars 2014, une exposition hors les murs du Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris, Roman d’une garde-robe, le chic d’une parisienne de la Belle Epoque aux années 30."

Ma mère évoquant le bon gout de ma grand mère disait " quand elle travaillait pour la maison Chéruit..."

J'avais fait des recherches, rien et là tout d'un coup par la grâce d'une expo, des informations sur cette maison de couture, l'une des premières qui s'installa place Vendôme et qui devint aprés la guerre le siège d'une autre grande dame de la couture : Elsa Schiaparelli.

On retrouve à travers l'expo les tenues portées par Alice Alleaume, première vendeuse et très tôt immergée dans le milieu de la mode parisienne, dont la famille a fait don au Palais Gallièra.

C'est assez époustouflant et il y a des tenues magnifiques d'une totale modernité qu'elles soient l'oeuvre de Madeleine Chéruit ou de Jeanne Lanvin, autre couturière passée elle à la postérité.