mardi 19 juillet 2016

"Vacances à Venise", le film de 1955 de David Lean

So kitsch mais un petit voyage dans Venise il y a une soixantaine d'années avec les tenues de l'époque et surtout la taille des actrices on croit rêver ....
Pas étonnant qu'elles portent avec brio des jupes/robes parapluie tellement la sveltesse de leur taille le leur permet


j'ai adoré les couleurs des rayures de la jupe so 2016
et là aussi entre la jupe et le haut on s'y croirait

Katherine Hepburn l’héroïne

cette robe rouge


beige-blanc, so chic
lire sur Bulles de culturel l'analyse du film

dimanche 17 juillet 2016

BAR, l'été de Saint Germain


Dans la discrète rue de l'abbaye, derrière l'église de Saint Germain des prés, l'archevêché a souhaité faire profiter d'un endroit incroyable les parisiens et autres touristes.




Ouvert jusqu'au 21aout, c'est un vrai havre de paix avec ses chaises et tables colorées où l'on peut déguster une citronnade accompagnée de pâtisseries de celle des Rêves !!!

mercredi 6 juillet 2016

Casablancas et Mr Gaga : deux hommes, deux destins, deux documentaires

Casablancas, l'homme qui aimait les femmes et Mr Gaga, sur les pas d'Ohad Naharin, deux documentaires sur deux hommes, l'un qui a révolutionné l'univers des mannequins et l'autre qui a fait bougé l'univers de la danse.

Le premier sur John Casablancas est un documentaire factuel avec la voix du héros décédé en 2013.
Avec ce personnage de roman, je pense qu'il aurait été possible de faire un film plus "sexy" et plus flamboyant, ce récit est assez terne mais intéréssant.



Mr Gaga, sur les pas d'Ohad Naharin, film sur la vie du chorégraphe israélien, pour lequel les critiques sont à juste titre dithyrambiques, nous fait vivre une vie d'émotions du kibboutz au ballet d’Israël en passant par New York. Je vous le conseille vivement ...

Ohad Naharin est en plus un citoyen engagé ce qui donne beaucoup de profondeur au film par certaines séquences
 " Et Ohad Naharin d’enfoncer le clou. « Je vis dans un pays qui est gagné par le racisme, la brutalité, l’ignorance, un mauvais usage de la force, le fanatisme. Cela s’exprime dans la façon dont nous avons choisi notre gouvernement (…) Un gouvernement qui ne met pas seulement en danger mon travail d’artiste, mais le fait même d’exister ici, dans ce pays que j’aime tant ».
(extrait de Télérama ici )