Georges Condo et Guy Peellaert,
deux expositions en ce moment au Musée Maillol
C'était une magnifique soirée d'été, il y avait cette magnifique cour intérieure d'un hôtel particulier, il y avait le DJ qui animait la soirée, il y avait les buffets de chez Le Nôtre abondamment approvisionnés, il y avait des gens qui discutaient assis autour des tables ou comme nous à coté des platines sur les escaliers.
C'était une magnifique soirée de juillet à Paris au Musée Maillol. (depuis c'est pluie-orage)
Le but était la visite des deux expositions qui s'y tiennent en ce moment : Bye bye, bye baby, bye bye de Guy Peellaert et La civilisation perdue de George Condo.
La dernière se tient au rez de chaussée du musée et clôture une trilogie américaine après Basquiat (my favorite painter) et Keith Haring.
C'est violent, violent ; une gifle au consensuel et à la notion de bon goût précise la "notice", comment mêler l'ancien avec le neuf, les styles picturaux du siècle et comment l'apparence est le reflet de notre intériorité. Scotchant!
A l'étage, expo plus calme mais tout aussi créative. Elle reprend les planches de l'album Rock dreams de 1973 qui passe en revue l'imaginaire du rock'n'roll au travers de ses interprètes et de l'image que les européens se font des vedettes du rock.
Musée Maillol 61, rue de grenelle 75007 Paris
C'était une magnifique soirée de juillet à Paris au Musée Maillol. (depuis c'est pluie-orage)
Le but était la visite des deux expositions qui s'y tiennent en ce moment : Bye bye, bye baby, bye bye de Guy Peellaert et La civilisation perdue de George Condo.
La dernière se tient au rez de chaussée du musée et clôture une trilogie américaine après Basquiat (my favorite painter) et Keith Haring.
C'est violent, violent ; une gifle au consensuel et à la notion de bon goût précise la "notice", comment mêler l'ancien avec le neuf, les styles picturaux du siècle et comment l'apparence est le reflet de notre intériorité. Scotchant!
A l'étage, expo plus calme mais tout aussi créative. Elle reprend les planches de l'album Rock dreams de 1973 qui passe en revue l'imaginaire du rock'n'roll au travers de ses interprètes et de l'image que les européens se font des vedettes du rock.
Musée Maillol 61, rue de grenelle 75007 Paris
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