Vous n'êtes pas à Cannes ? moi non plus !Alors, allez voir un film qui vous fera passer un très bon moment de cinéma.
Stephan Elliot, qui nous avait enchanté en 1994 avec Priscilla, folle du désert, a adapté la pièce de Noël Coward, Easy Virtue.
Pour les acteurs, Jessica Biel, Colin Firth, Kristin Scott Thomas, Ben Barnes…
C'est distrayant, brillant, rigolo et super bien joué.
Dans tous les domaines, 
avez-vous remarqué, on "nage" dans les années folles, c'est aussi le cas dans ce film où la joyeuse fureur d'après-guerre rencontre avec violence l'austérité des mœurs de la haute société britannique. Alors voilà le tableau : Larita, incarnation de l'âge du jazz (entre autres Cole Porter en fonds sonore du film) jusque dans sa nationalité américaine, est épousée par le jeune John Whittaker qui la ramène dans sa campagne anglaise, dans un manoir tenu avec poigne par une mère bien accrochée aux bonnes mœurs de son rang. 
Forcément, si ça ne passe pas, ça casse ! Et les étincelles vont fuser… pour notre plus grand bonheur.
Il semblerait que still walking, dans un autre registre, se révèle un petit bijou. (merci Bertrand)
avez-vous remarqué, on "nage" dans les années folles, c'est aussi le cas dans ce film où la joyeuse fureur d'après-guerre rencontre avec violence l'austérité des mœurs de la haute société britannique. Alors voilà le tableau : Larita, incarnation de l'âge du jazz (entre autres Cole Porter en fonds sonore du film) jusque dans sa nationalité américaine, est épousée par le jeune John Whittaker qui la ramène dans sa campagne anglaise, dans un manoir tenu avec poigne par une mère bien accrochée aux bonnes mœurs de son rang. 
Forcément, si ça ne passe pas, ça casse ! Et les étincelles vont fuser… pour notre plus grand bonheur. Il semblerait que still walking, dans un autre registre, se révèle un petit bijou. (merci Bertrand)
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